De l’écologie personnelle à l’écologie planétaire

Ces considérations pratiques sur notre "pollution intérieure" (1) amènent une réflexion qui constitue le cœur de ma pratique médicale : chacun doit réaliser que : "notre corps est notre première planète" ! Nous sommes nombreux à penser que le XXIe siècle sera celui d’une indispensable "écologie planétaire". Nous voyons surgir régulièrement des menaces écologiques graves, des pollutions massives impliquant notre survie à long et même aujourd’hui à moyen terme. La pollution de notre planète est un enjeu majeur de ce nouveau siècle, pour nous-mêmes et surtout pour nos enfants.

Nous allons devoir faire preuve de lucidité, de courage et de discipline si nous voulons avoir une chance de résoudre ce problème mondial. Mais il nous faut développer les mêmes qualités pour résoudre nos propres problèmes de santé ! L’écologie est un problème global, en même temps que singulier et individuel. Nous l’aborderons d’autant mieux que nous commencerons par nous occuper soigneusement de notre "planète-corps". Adopter individuellement une meilleure "écologie du corps" (2) est, me semble-t-il, un premier pas indispensable vers une meilleure prise de conscience collective des problèmes planétaires.

Je crois, à l’expérience, que cette écologie de l’"Être" (corps, esprit et émotions) devrait précéder l’écologie de l’"Avoir" (consommation, matière, planète). Il faut une "prise de conscience" et un nouvel élan au au service d’un "être-plus-humain", qui saurait modérer sa folie de consommation, son avidité de matière, et qui pourrait ainsi refuser de participer à l’escalade des pollutions-destructions planétaires majeures.

Mais avant tout, que ces quelques outils de Delta-détoxication rendent un début de "sourire métabolique" à certains de vos organes pollués ou épuisés !

(1) Toute la panoplie des pollutions électriques et électromagnétiques,et les moyens pratiques de les neutraliser, sont développés dans la partie : "Mes 10 conseils de santé pratique".
(2) En refusant de se laisser polluer journellement par des aliments et des boissons antisanté, n’ayant comme seule valeur nutritionnelle qu’une alléchante mais indigeste notoriété "marketing".